La genèse de
Nuage prit plus de cinq ans. Les contraintes de forme (faire d'un mémoire d'histoire ce qui peut ressembler à un roman), la structure de l'ouvrage en trois parties aux dimensions imposées (Pierre-Paul Jobert évoque l'écriture d'une symphonie), le souci de positionner le questionnement (l'auteur des chroniques, objet du mémoire, dit-il la vérité ?) d'une façon rigoureuse, rationnelle et étoffée expliquent le délai entre l'idée et la rédaction qui in fine ne prit que quelques mois. Un ouvrage qui permet d'aborder de nombreux sujets d'actualité, sous le prisme du point de vue de Sirius (pour paraphraser Voltaire et son Candide), de poser des questions existentielles, d'interroger sur ce qu'est une civilisation, et d'ouvrir en grand les portes d'un imaginaire débridé sans pour cela jamais quitter le registre du plausible, formation scientifique oblige.
D'autres ouvrages sont en préparation, en maturation devrait-on plutôt dire.
Les lueurs de l'aube, un grand récit à vocation mythologique, écrit il y a plus de vingt ans, revu et corrigé paraîtra dans les prochaines années.
Dieux qui reprendra des éléments de
Nuage, et répondra à une question sans réponse naîtra un jour.
Toujours avec cet engagement, cette opiniâtreté à dénoncer une société insensée, ce souci permanent d'emmener le lecteur sur le chemin qui mène à la beauté, sans jamais oublier de questionner le réel, dans une quête existentielle sans fin, tandis que le lecteur sera emmené vers d'autres mondes, miroirs du nôtre, dans un souffle que la musique lui inspire depuis toujours.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Toujours avec cet engagement, cette opiniâtreté à dénoncer une société insensée, ce souci permanent d'emmener le lecteur sur le chemin qui mène à la beauté, sans jamais oublier de questionner le réel, dans une quête existentielle sans fin, tandis que le lecteur sera emmené vers d'autres mondes, miroirs du nôtre, dans un souffle que la musique lui inspire depuis toujours.